« Si on n’y prend garde, l’arbre disparaitra et la fin de la planète viendra par dessèchement, sans catastrophe nécessaire, par la faute de l’homme. (...) Il y a un grand péril en la demeure, c’est que les appétits de l’homme sont devenus des besoins impérieux que rien n’enchaine, et que si ces besoins ne s’imposent pas, dans un temps donné, une certaine limite, il n’y aura plus de proportion entre la
demande de l’homme et la production de la planète. » - George Sand, 1872